Le travail fait partie du quotidien de la majorité des adultes actifs. Avec les responsabilités qui s’accumulent et le besoin de se faire remarquer par la hiérarchie, de nombreux salariés se laissent submergés par leur carrière. Le poste est passionnant et le salaire attractif, mais au fil du temps, le collaborateur finit par s’épuiser physiquement et mentalement. Il est alors en proie au burn-out ou épuisement professionnel et commence à ne plus travailler de manière correcte. Comment venir à bout de ce problème qui fait partie des risques professionnels ?

Reconnaître les signes précurseurs d’un épuisement professionnel imminent

Le burn-out ne s’empare pas d’un salarié du jour au lendemain. Il est précédé de signes annonciateurs qu’il convient de savoir identifier. L’épuisement professionnel se manifeste par un manque flagrant de motivation et une humeur changeante. Le collaborateur a du mal à rester concentré et il n’arrive pas à prendre des décisions.

Les symptômes physiques sont la fatigue et les douleurs inexpliquées. Le salarié a du mal à s’endormir et il ne parvient pas à récupérer son manque de sommeil. Il commence à avoir des acnés sur la peau et son poids n’est pas stable. Ainsi, il est en surpoids ou il rencontre un problème de maigreur.

Il faut savoir qu’il est du devoir de l’entreprise de veiller à la santé physique et aussi au bien-être mental de ses salariés. L’employeur doit savoir identifier les risques professionnels auxquels ces derniers s’exposent. À cet effet, des sites comme idprevention.com proposent aux membres de la commission CSSCT de l’entreprise des formations SSCT qui traitent les questions de santé, sécurité et conditions de travail des employés. Pour rappel, cette commission est obligatoire pour les entreprises employant 300 salariés et plus.

Trouver les causes de la maladie

Le burn-out n’est pas un simple malaise, il s’agit d’une véritable pathologie qui mérite toute l’attention des travailleurs. Pour l’anticiper, il importe de connaitre ses causes.

Déjà, un salarié en proie à ce problème est celui qui est souvent pris par de nombreuses responsabilités. Au bout d’un certain temps, il ne dispose plus d’assez de ressources pour accomplir les tâches qui l’attendent au quotidien. Il stresse et finit par perdre de vue ses objectifs.

D’autres causes peuvent conduire à ce problème. Tel est le cas du travail non reconnu ou encore de la pression exercée par le manager. Certains salariés craignent l’échec et deviennent extrêmement perfectionnistes. De leur plein gré, ils font face à une surcharge de travail au détriment de leur santé. La situation est souvent la même chez les managers qui refusent de déléguer le travail.

Il est à noter que certaines situations personnelles aggravent les problèmes professionnels et peuvent peser sur une personne au point de la mener au burn-out. Ce sont notamment le divorce ou les autres difficultés familiales.

Gérer sa charge de travail

La prévention des risques professionnels passe par l’acceptation d’une charge de travail raisonnable. Ainsi, en compagnie de la hiérarchie, il convient de fixer des objectifs atteignables en fonction des deadlines imposés. Il est mieux d’éviter de prendre trop de responsabilités.

Il est aussi nécessaire de s’organiser au mieux et de prendre de l’avance dans le traitement des tâches pour éviter de se précipiter au dernier moment. Il est important de s’accorder des pauses dans une journée pour prendre un café et échanger avec les collègues. Cela peut entraîner un peu de retard, mais le travail sera accompli à temps, le bien-être sera préservé et les rps ou risques psychosociaux seront tenus au loin.

En cas de difficultés, il est déconseillé de rester seul à stresser dans son coin. Il est plus prudent de solliciter de l’aide ou de déléguer pour être sûr de terminer le travail. Une fois à la maison ou lorsqu’arrive le week-end, il faut laisser de côté le travail pour se reposer entièrement. Cela évitera d’intensifier la fatigue.

Certaines personnes tendent à stresser facilement. Pourtant, le stress est un des facteurs du burn-out. Heureusement, de plus en plus d’entreprises proposent des formations de gestion du stress aux salariés pour leur permettre de gérer leur anxiété.

Arrêter avec le travail un tant soit peu

Désirer une promotion est normal, mais l’ambition peut conduire à accepter du travail en trop. Lorsque la fatigue se fait ressentir et que le travail semble devenir une obligation, il est recommandé de prendre un peu de recul. Pendant les jours de repos, il faudra couper le contact avec le travail. Le téléphone, la tablette et l’ordinateur portable de l’entreprise seront éteints.

Lors des jours de congé, il faut être disponible pour la famille et les amis. Les sorties récréatives, les balades à la campagne ou les journées au parc d’attractions en compagnie des enfants sont à inclure au programme. Il faut quand même éviter de s’adonner à des activités trop physiques n’appelant pas au repos du corps.

Travailler n’est pas autorisé, mais il est envisageable de parler de son travail et de ses projets aux membres de la famille. Cela permet de se détendre et d’avoir de nouvelles perspectives à essayer une fois de retour au bureau.

Il est également préconisé de faire des activités relaxantes telles que le yoga ou l’art plastique pour se détendre et soigner les signes du burn-out.

Le stress, l’anxiété et l’hyperactivité sont des maux modernes liés à nos conditions de travail. Avant d’atteindre le stade du burn-out ou pour se réadapter après une période mouvementée, il est important d’apprendre à gérer son stress. Notre qualité de vie peut très vite être altérée par une trop grande anxiété au travail. Quelques astuces et certaines formations peuvent être efficaces pour apprendre à gérer le stress causé par le travail.

Apprendre à gérer son stress

Gérer le stress et la souffrance au travail est tout à fait possible. La plupart des personnes stressées par leur travail ont recours à des anxiolytiques puissants. Ceux-ci peuvent apporter un grand soulagement, mais ont également des effets néfastes sur le système nerveux. Certains effets secondaires notables tels que la dépendance et la perte de mémoire sont même dangereux. Il existe des moyens beaucoup plus efficaces, et surtout moins néfastes, de gérer son stress. Vous souhaitez éviter le burn-out ? Vous ne voulez pas faire de rechute ? Apprendre à détecter les sources de stress et développer son assertivité sont essentiels pour se sentir bien au travail. Ces astuces sont l’objet des formations de gestion du stress proposées par idprevention.com. Une formation efficace, dispensée par un organisme spécialisé dans la sécurité au travail, est capable d’aider une personne anxieuse à être plus positive et à savoir bien gérer son stress.

Les symptômes du burn-out

Les symptômes qui peuvent montrer que vos conditions de travail vous affectent beaucoup plus que vous le pensez peuvent être nombreux. Certains symptômes sont d’ordres psychologiques. Vous pouvez, par exemple, commencer par vous sentir incompétent, penser que vous n’arriverez jamais à accomplir les tâches qui vous sont confiées ou ne plus arriver à prendre de décisions. Un sentiment de frustration peut aussi être le signe d’une dépression professionnelle. Celui-ci peut s’exprimer par une attitude cynique ou par un aigrissement constant. D’autres symptômes sont d’ordres physiques. Si vous ressentez une fatigue persistante, que vous avez du mal à trouver le sommeil et que vous sentez que votre équilibre nerveux est perturbé, c’est peut-être que vous êtes sujet à une dépression liée à votre travail. Les troubles digestifs, la perte appétit ou les douleurs musculaires persistantes sont également des signes à prendre en compte. Attention toutefois, certains de ces symptômes peuvent seulement être des signes d’un passage à vide temporaire. L’arrivée d’un burn-out peut être identifiée si ces symptômes se font persistants. Si tel est votre cas, vous devriez peut-être envisager une formation qui vous aidera à mieux contrôler votre stress.

Pourquoi suivre une formation sur le stress au travail ?

Le bien-être et la sécurité au travail sont l’affaire de plusieurs acteurs. Le comité social et économique d’une entreprise est capable de vous renseigner sur les différentes formations qui existent pour apprendre à gérer ce stress. Idprevention.com est un site proposant une aide pour comprendre et gérer le stress lié aux conditions ou à la surcharge de travail. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, ces formations ne sont pas réservées qu’aux employés qui présentent des signes de dépression. Le burn-out concerne aussi les chefs d’entreprise et les responsables des relations humaines. Ceux-ci peuvent être acteurs du bien-être au travail et participer à la création d’une ambiance de travail plus agréable. De plus, le stress diminue la productivité et augmente la quantité d’arrêts de travail dans une entreprise. Même les travailleurs qui se sentent bien au sein d’une entreprise peuvent apprendre à gérer leur stress pour être plus productif ou pour prendre de bonnes habitudes qui les aideront pour l’ensemble de leur carrière professionnelle.

Comment combattre efficacement la souffrance au travail ?

La médecine du travail met à la disposition des travailleurs de nombreuses aides pratiques pour les aider à lutter efficacement contre le stress et l’angoisse sur leur lieu de travail. Lorsque le stress au travail a des répercussions sur la vie privée d’une personne, celle-ci doit prendre des mesures pour se libérer de cette souffrance. La solution la plus simple est souvent d’avoir une conversation franche avec son employeur. Revoir les horaires, optimiser les objectifs fixés, diminuer le nombre de tâches, améliorer les conditions de travail, de nombreux changements bénéfiques à l’employeur comme à l’employé peuvent être appliqués pour réduire l’angoisse. Un travail sur soi est bien souvent nécessaire pour arriver à diminuer l’impact du stress sur l’organisme. En suivant une formation adéquate, il est possible de développer sa confiance en soi et son estime pour améliorer sa gestion du stress. Apprendre à s’organiser et à déléguer peut aussi être un bon moyen de réduire les sources d’angoisse. Retrouver une bonne hygiène de vie et de l’équilibre entre sa vie privée et sa vie professionnelle permet aussi d’améliorer sa sensation de bien-être général. Les formations proposées aident les personnes à augmenter leur résistance au stress, à améliorer leur gestion des priorités et à se constituer un programme hebdomadaire qui inclut de la détente et une activité physique régulière.


De nombreuses personnes ont en ce moment une phobie de la mort. Il est vrai que les phobies les plus connues par le public sont : la peur des animaux, la peur de la solitude, etc. Mais de nos jours, la peur de mourir devient de plus en plus fréquente. Elle touche un grand nombre d’individus dans divers pays. Pourtant, c’est un sujet qui n’est pas très souvent abordé. La plupart des victimes préfèrent consulter des avis et des conseils sur Internet. Pourtant, il s’agit d’une peur « humaine » qui est totalement compréhensible. Le souci, c’est que pour la plupart des gens qui sont victimes de ce genre de maladie, cela devient une véritable obsession. Si vous êtes concerné par cette angoisse, sachez qu’il existe diverses méthodes naturelles pour s’en remettre facilement. Si le problème s’aggrave, l’idéal est de faire appel à un psychologue ou à un médecin spécialisé dans le domaine. Il donne des opinions en tant que professionnel et vous prescrit les bonnes attitudes à avoir. Voici des conseils qui vous aident à vous débarrasser définitivement de votre peur de la mort, et cela d’une manière naturelle.

Ce qu’il faut comprendre sur la peur de mourir

Les individus qui se disent « j’ai peur de la mort » doivent avant tout savoir ce que cela signifie vraiment avant d’y trouver un traitement efficace. Les personnes qui sont concernées par ce genre de problème vivent une angoisse qui peut être très handicapante dans leur quotidien. Pour certaines, il s’agit d’une peur perpétuelle de s’endormir et de ne plus jamais se réveiller. Toutefois, l’angoisse de la mort est accompagnée par une crise de panique. Cela peut même conduire à la dépression, surtout si la victime ne sait pas comment gérer et comment contrôler l’attaque. Malgré cela, les gens arrivent très bien à vivre avec l’idée de savoir qu’ils vont mourir un jour. Cliquez ici pour plus d’infos sur ce type d’angoisse.

Penser à sa mort peut être très stressant, en particulier pour ceux qui se demandent ce qui se passe après. Lorsque l’un de vos proches meurt, vous pouvez vous sentir mal. Mais quand il s’agit de se confronter directement à la mort, c’est très différent. En réalité, ce concept cache de nombreux mystères. Personne ne sait ce qui se produit vraiment dès que le cœur de l’être humain cesse de battre. C’est pour cette raison qu’y penser peut créer de l’anxiété et de la peur.

Les bonnes habitudes à adopter pour une angoisse de mort imminente

Il existe plusieurs types d’angoisses de la mort. Parmi les plus fréquentes, il y a l’angoisse de mort imminente. Le monde actuel est très agité, en même temps, des accidents ne cessent de se produire. De ce fait, les hommes ont peur de mourir. Dès que vous sortez de votre maison, divers incidents peuvent survenir : les accidents de la route, les assassinats, etc. Il devient de plus en plus difficile de se sentir en sécurité. Il est probable que récemment, des événements dramatiques vous ont montré que tout le monde peut mourir et être victime d’une balle perdue ou d’un accident violent sur la route. Ce qui peut vous traumatiser et générer une sensation de vulnérabilité. Sur ce cas, la meilleure chose à faire, c’est d’essayer d’accepter que ce genre d’incident soit inévitable. D’un point de vue psychologique, il s’agit d’un manque de confiance en soi. Pensez que vous avez encore plein d’aventures à vivre. Il faut accepter que la mort survient un jour, mais, sans que vous en soyez au courant. Apprenez aussi à prendre soin de vous et à prendre des précautions. Ainsi, vous vous sentirez plus protégé.

Comment mieux gérer son angoisse de la mort ?

N’importe qui peut être victime de ce genre de maladie. La plupart du temps, les individus qui connaissent ce genre de crise commettent l’erreur de forcer leur contrôle sur eux-mêmes. Selon les spécialistes, c’est une attitude à éviter dans une telle situation. Cela peut conduire à des crises d’angoisse encore plus graves. Plus précisément, cette habitude ne fait que nourrir sa peur. La meilleure façon de s’en sortir, c’est d’y aller doucement.

Sachez que vous n’allez pas forcément mourir tout de suite. Personne ne sait à quelle heure ou à quel moment elle va cesser d’exister. Il s’agit simplement d’une impression qui vous empêche de vivre normalement. La peur de mourir est tout à fait compréhensible. Vous ne devez pas lutter contre elle d’une manière brusque, sinon, vous n’allez faire qu’alimenter l’angoisse qui est déjà en vous. Vous ne devez en aucun cas fuir pour l’éviter. La première chose à faire, c’est de ne pas se rendre dans un lieu qui vous fait peur. Lorsque vous sortez de chez vous, prenez toujours des précautions.

Que faire au moment où l’angoisse de la mort surgit ?

Il est possible que vous ressentiez la peur de la mort à un moment inattendu. C’est par exemple le cas quand vous vous baladez dans la rue et que vous voyez des véhicules rouler à toute vitesse. Cela peut être causé par la mort d’un proche suite à un accident. Chez certaines personnes, l’angoisse de mourir surgit également lorsqu’elles ont vu des images qui les ont choquées, que cela soit sur les réseaux sociaux ou bien directement. Quoi qu’il en soit, si vous êtes touché par cette crise de panique, il est probable que vous ayez une impression que vous allez bientôt mourir. Vous pouvez avoir cette sensation de vous enfoncer dans un sable mouvant. Plus vous vous débattez, plus vous vous enfoncez. Ainsi, pour s’en sortir, il est nécessaire d’utiliser une technique contre-intuitive.

Le plus difficile dans le fait de lutter contre cette crise d’anxiété, c’est de lâcher prise. Pourtant, si vous voulez vous en remettre, cela est inévitable. Vous devez faire comme si l’événement qui vous fait peur ne s’est jamais produit. Vous avez la possibilité de pratiquer de l’exercice de respiration pour vous sentir plus à l’aise. Mais, afin que vous puissiez vous en sortir facilement, vous devez rentrer dedans. Pour cela, vous avez la capacité de suivre une thérapie comportementale.

Soigner l’angoisse de la mort : quelle est la bonne stratégie ?

Il existe diverses stratégies qui vous permettent de vous soigner de ce type d’anxiété. Mais, la plus pratique, c’est d’intégrer un programme thérapeutique. Sachez tout de même que ce seul exercice n’est pas suffisant. Selon les avis des spécialistes, l’angoisse de la mort est la conséquence d’une circonstance qui vous a traumatisé. Afin que vous puissiez vous en remettre définitivement, il vous est indispensable de comprendre les raisons ainsi que les facteurs qui alimentent votre angoisse. C’est pour cela que vous avez besoin de faire une approche comportementale. Dès que vous déterminez les causes, vous trouverez une solution fiable.

Notons juste qu’il n’y a pas de miracle dans la guérison de cette maladie. Il faut suivre une bonne stratégie thérapeutique. Vous ne devez pas vous enfermer chez vous afin de vous débarrasser de votre peur. Au contraire, vous devez y faire face et surtout, apprendre à accepter que la mort fasse partie du cycle de vie de chacun. Quoi que vous fassiez, vous ne pourrez pas l’éviter. Gardez en tête que ce qui cause la mort de chaque personne peut être différent.

Actuellement, il a été reconnu que le travail peut engendrer des affections psychiques. La dépression en est l’une d’elles. Elle est considérée comme une maladie mentale. De nombreux cas de dépression sont directement liés au travail. Burn-out, violences psychologiques, sanctions démesurées… ils peuvent engendrer une dépression sévère entraînant une incapacité de travail. Lorsque les troubles sont permanents, la personne dépressive peut bénéficier d’un arrêt maladie. Ceci lui est accordé en vue de son rétablissement. Avec les années, la procédure pour obtenir un arrêt maladie s’est assouplie, mais elle demeure complexe. Son aboutissement se fait sous quelques conditions. Lesquelles ?

Etape 1 : Préparation de dossier

Pour bénéficier d’un arrêt maladie pour cause de dépression, il faut déposer un dossier auprès de l’Assurance-maladie. Il doit comporter, entre autres, un rapport médical et un formulaire de demande de reconnaissance de maladie professionnelle.

Le rapport médical doit être rédigé par le médecin traitant du salarié. En effet, ce dernier devra faire une première consultation auprès de celui-ci. Ensuite, ce sera au médecin de juger s’il doit lui prescrire ou non un arrêt maladie. Si c’est le cas, il doit impérativement indiquer dans le rapport médical que l’état mental de son patient impacte son aptitude au travail. En outre, il doit confirmer que la dépression est d’origine professionnelle.

Ensuite, l’ensemble du dossier sera examiné minutieusement par le médecin-conseil de l’Assurance-maladie. Sur la base de l’enquête, il validera ou non le diagnostic initial établit par le médecin traitant du patient.

La gravité de la dépression dans le travail diffère d’un cas à un autre. Toutefois, l’analyse s’appuie sur des éléments concrets tels que l’hospitalisation, la consommation de traitements antidépresseurs, la fréquence des arrêts de travail… Ainsi, les impacts de la dépression et le travail sur la vie professionnelle du patient sont pris en compte.

Grâce à l’arrêt maladie, le salarié pourra bénéficier d’une rente, largement supérieure à sa pension d’invalidité. Quant à sa valeur, des sites tels que fredericarminot.com, par exemple, contiennent plus de détails à ce propos.

Etape 2 : Discerner la cause de la dépression

Par rapport à une autre pathologie, l’obtention d’un arrêt maladie pour cause de dépression est plus complexe. La procédure peut en décourager plus d’un. Néanmoins, elle est moins longue qu’auparavant même si elle peut encore durer plusieurs mois. De plus, les salariés ont plus de chance d’obtenir des réponses positives.

En général, le burn-out est l’une des causes les plus fréquentes de dépression au travail. On l’appelle également syndrome d’épuisement professionnel. Il peut être causé par une souffrance psychique liée au travail. Toutefois, divers troubles mentaux peuvent également causer une dépression. Elle peut avoir plusieurs origines qui sont parfois difficiles à définir. Dans certains cas, le corps médical a du mal à reconnaître si elle est d’origine professionnelle ou non.

Dans d’autres cas, les employés sont atteints de troubles mentaux moins sévères que la dépression. En général, l’anxiété et le stress post-traumatique sont les plus courants d’entre eux. La dépression peut également être due à des difficultés d’ordre privé, à des troubles de la personnalité ou même à des fragilités émotionnelles. De ce fait, le salarié se sent épuisé et n’a plus envie de travailler. Il jugera ainsi par lui-même que son travail en est la cause et entreprend des démarches pour jouir d’un arrêt de travail.

Près d’un cas sur deux, les demandes d’arrêt maladie en raison d’une dépression sont accordées par l’Assurance-maladie. Mais si la plupart des dossiers déposés aboutissent, c’est parce qu’ils ont déjà fait l’objet de nombreuses investigations. En effet, l’Assurance-maladie entreprend quelques démarches avant tout accord.

Pour bénéficier d’un arrêt maladie, il faut donc démontrer que les causes sont bien d’ordre professionnel. Le fait est que la dépression ne figure pas au tableau des maladies professionnelles, mais elle peut être reconnue comme telle lorsqu’elle perturbe l’activité de l’employé.

Etape 3 : Effectuer des investigations

Il a été constaté que depuis que les personnes dépressives peuvent bénéficier d’un arrêt maladie, le nombre de dossiers traités a augmenté. Cependant, pour certaines personnes, il s’agit tout simplement d’un moyen efficace pour obtenir un arrêt de travail. Elles profitent ainsi du système.

Pour démasquer ces cas, l’Assurance-maladie doit effectuer des expertises. Ces dernières lui permettront de faire le lien entre la maladie et le déroulement des événements. Cette précaution a été prise pour bien prendre en charge les risques et pour évaluer les conditions professionnelles dans lesquelles la maladie a évolué.

En général, la depression a cause du travail peut être la conséquence d’un manque de motivation dû à des charges de travail trop lourdes, de violences verbales ou physiques ou autres. Des preuves tangibles sont parfois nécessaires pour bien appuyer le dossier. Dans le cadre d’un harcèlement, par exemple, des emails suffiront à confirmer les faits. Il se peut aussi que le médecin-conseil ou un autre acteur (syndicats…) demande à recueillir le témoignage des collègues ou de l’employeur du patient. De cette manière, les faits seront plus précis et les preuves sont plus concrètes.

Les enquêtes effectuées contribuent à identifier la racine de la dépression. C’est par la suite, que l’Assurance-maladie pourra évaluer si la victime se trouve effectivement en incapacité de travail ou non. Ainsi, un arrêt maladie ne sera délivré que lorsque l’employé est dans l’impossibilité d’exercer son travail.

Etape 4 : Une prise en charge rapprochée

Pour guérir la dépression, une collaboration entre le patient et son médecin doit se faire. En fonction du diagnostic, ce dernier pourra prescrire un traitement médicamenteux approprié.

La dépression nécessite une prise en charge particulière surtout lorsqu’elle entraîne des pensées suicidaires. Pour les traiter, les médecins prescrivent souvent des antidépresseurs. Sous l’influence de médicaments, certains patients ne sont pas en état d’effectuer des activités professionnelles.

En effet, ce type de traitement peut engendrer des effets secondaires plus ou moins majeurs. La somnolence, entre autres, déstabilise le quotidien du salarié. Pareillement, de graves problèmes de concentration peuvent aussi ruiner son travail. Donc, seul, un arrêt de travail pourra l’aidera à récupérer durant tout le traitement. Grâce à celui-ci, une personne dépressive aura le temps de bien se rétablir sans que cela n’impacte son travail. De plus, elle pourra jouir d’une indemnité d’arrêt de travail.

Etape 5 : Renouvellement d’un arrêt maladie

L’Assurance-maladie devra mettra en place des mesures pour faciliter la reprise du travail après l’arrêt maladie. Selon les besoins de la personne dépressive, l’organisme pourra décider d’un travail à mi-temps. Pareillement, lui seul peut définir la durée de l’arrêt maladie en fonction des cas et des évaluations.

D’autre part, il se peut que le conditionnement de travail soit nocif pour le patient. Son médecin-conseil évaluera si ce dernier pourra réintégrer son environnement professionnel ou s’il constitue un obstacle pour son rétablissement.

Si aucune solution n’est envisageable, le salarié sera obligé de changer de travail ou de s’orienter vers un autre poste. De ce fait, une réintégration professionnelle peut être envisagée. La reprise ou non du travail dépend entièrement de la capacité ou non de l’employé à effectuer son travail après le traitement. Donc, l’arrêt maladie peut donc être renouvelé.

Si après des renouvellements successifs, la santé mentale du patient ne s’est pas toujours améliorée, il sera finalement jugé inapte au travail. Il doit entamer une toute autre démarche pour obtenir un congé maladie longue durée.

Être employé dans une société comporte de nombreux risques et difficultés. Il est très courant de subir du harcèlement sur le lieu de travail. Il peut s’agir d’un harcèlement sexuel ou moral. Cela peut venir soit d’un collègue soit de votre employeur. Peu importe sa nature, le harcèlement dans le milieu professionnel est un type de violence puni par la loi. Si vous retrouvez dans une telle situation, vous pouvez saisir le conseil des prud’hommes pour vous faire justice. Cependant, il est important que vous sachiez exactement la forme de harcèlement dont vous êtes victime et que vous ayez des preuves. Cet article vous propose de découvrir le comportement à tenir face au harcèlement moral et la procédure à suivre pour saisir les prud’hommes.

Déterminer la nature du harcèlement

Le harcèlement au travail se définit comme une série de comportements dégradants répétés qui a pour but de déstabiliser la personne qui en est victime. On en distingue deux grandes catégories : le harcèlement moral et celui sexuel. Selon Marie-France Hirigoyen, une psychanalyste, ce type de harcèlement est une « conduite abusive qui se manifeste notamment par des comportements, des paroles, des gestes, des actes, des écrits pouvant porter atteinte à la personnalité, à la dignité ou à l’intégrité physique ou psychologique d’une personne ». L’article L1152-1 du Code du travail stipule qu’aucun employé ne doit subir de tels comportements qui mettent en danger sa dignité, sa santé et sa carrière professionnelle. Le Code pénal quant à lui fait cas d’une sanction prévue pour les auteurs de harcèlement moral.

Par ailleurs, le harcèlement sexuel est un ensemble de propos et d’agissements à caractère sexuel qui se répètent dans le temps. L’auteur de ce type de harcèlement a pour objectif de mettre la pression sur la victime afin de bénéficier de quelque faveur sexuelle. Ce genre de contexte porte essentiellement atteinte à la dignité de l’employé car étant humiliant et inapproprié. Il engendre une atmosphère hostile, d’intimidation et d’offense.

Qui peut être victime ou auteur de harcèlement au travail ?

Dans le cadre professionnel, aucun employé n’est épargné du risque de harcèlement. Peu importe le grade ou le poste occupé, vous pouvez être à tout moment victime de harcèlement sexuel ou moral. Cela ne dépend également ni du domaine d’activité de l’entreprise, de sa taille, ni de la nature de votre contrat de travail (CDD, CDI, Stage, etc.). Ainsi, la loi prévoit une protection pour toutes les victimes qu’elles soient salariées, stagiaires ou apprenties.

Contrairement aux croyances les plus répandues, l’employeur n’est pas la seule personne capable de poser des actes de harcèlement. Il peut aussi s’agir d’un supérieur hiérarchique, ou d’une personne qui détient l’autorité sur une autre. Le harceleur n’est pas forcément une personne intérieure à l’entreprise. Cela peut tout aussi provenir de l’externe, soit des clients, des donneurs d’ouvrage, d’une mise à disposition, d’un contrat de sous-traitance, etc. Il faut noter que le harcèlement ne provient pas obligatoirement d’un supérieur hiérarchique ou d’une autorité. Le contraire est bien possible. On rencontre des cas où c’est l’employé qui harcèle son supérieur. Dans d’autres cas, le harcèlement se passe entre de simples collègues de travail.

Aussi, ne recherche-t-on pas forcément une victime. Dès que les droits d’un salarié, sa dignité, sa santé physique et mentale, ainsi que son avenir professionnel sont en jeu, la loi est interpellée.

La responsabilité de l’employeur

Tout employeur qui se respecte a le devoir de protéger ses salariés. Il doit alors prévoir toutes les mesures envisageables afin d’éviter le harcèlement. L’article L1152-4 du Code de travail le rend responsable des différentes dispositions nécessaires à la prévention des comportements de harcèlement au travail. Il a d’ailleurs, selon l’article L4121-1 du Code de travail, l’obligation de protéger la santé physique et mentale de ses employés. Il doit mener des actions de préventions de risques au travail telles que des informations, des formations et une organisation compétente. Il ne s’agit pas pour l’employeur d’uniquement stopper le harcèlement au sein de l’entreprise, mais aussi de faire en sorte que ça n’arrive jamais. S’il n’honore pas ses devoirs, il est susceptible de faire l’objet de sanction juridique pour manquement à la sécurité des salariés. Par ailleurs, tout salarié ayant subi des comportements de harcèlement a droit à une indemnisation.

Ensuite, l’employeur n’est pas autorisé à sanctionner la victime ou le dénonciateur de l’acte de harcèlement pour des motifs personnels. Les articles L. 1152-2 et L. 1152-3 du Code du travail protègent les victimes et les personnes ayant témoigné ou relaté des actes de harcèlement sur le lieu de travail. Ces personnes concernées sont épargnées de toutes sanctions, discriminations ou licenciement pour avoir réagi ou dénoncé le harcèlement. La loi considère comme sans effet tout licenciement prononcé dans ces contextes.

Les différents recours possibles

Il existe de nombreuses possibilités de recours avant de saisir un juge.

– L’alerte des représentants du personnel ou de l’inspection du travail

La première action que vous devez faire lorsque vous êtes victime de harcèlement est d’informer les représentants du personnel. Ces derniers vous aideront à faire les démarches nécessaires, et informeront l’employeur grâce à leur droit d’alerte. Ou, vous pouvez prévenir l’inspection du travail qui se chargera ou non de transmettre votre dossier à la justice.

– La procédure de médiation

En tant que victime de harcèlement, vous devez engager une démarche de médiation avec l’auteur des faits. D’un commun accord, les deux parties en cause doivent choisir un médiateur. Ce dernier a pour rôle d’essayer de régler la situation à l’amiable. Il a l’obligation de proposer des solutions de sortie et de fin de harcèlement aux deux parties.

– Saisir le conseil des prud’hommes

Dans le but d’obtenir des réparations pour les dommages que vous avez subis, vous pouvez saisir le conseil de prud hommes. Il est possible d’effectuer la saisine dans un délai maximum de 5 ans après le dernier comportement de harcèlement. La particularité de la présente démarche est qu’elle s’oppose toujours à l’employeur, peu importe sa responsabilité directe ou non dans les faits. Il est sanctionné, car n’ayant pas assuré la protection de son salarié contre les risques de harcèlement professionnel.

Les étapes d’une procédure de saisine de prud’hommes

Il est possible de saisir le conseil des prud’hommes par deux manières. D’une part, vous pouvez envoyer une lettre de demande d’audience au greffe du conseil. D’autre part, les deux parties en cause peuvent se rendre volontairement devant le bureau de conciliation du conseil conformément à l’article R. 1452-1 du Code du travail.

– La tentative de conciliation

Avant d’engager un procès, le conseil des prud’hommes essaie de trouver un accord entre les deux parties. Les protagonistes sont tenus de se présenter devant le bureau de conciliation formé d’un conseiller prud’homme salarié et d’un conseiller prud’homme employeur. Les arguments et preuves sont alors exposés. Cette démarche peut se solder par un accord, une absence d’accord ou des mesures préventives.

– Le procès

Si la tentative de conciliation échoue, les parties sont convoquées à une audience de jugement de façon expressive ou par courrier recommandé avec accusé de réception. Le procès se déroule face à quatre conseillers : deux salariés et deux employeurs. Les décisions finales dépendent du déroulement.


En 2007, l’Agence européenne pour la sécurité et la santé au travail (EU-OSHA) recensait 23 millions de maladies causées ou aggravées par le travail. Dans 27 pays de l’Union, elle dénombrait aussi 5580 cas d’accidents mortels liés au travail, sans compter ceux ayant entraîné plus de 3 jours d’absence de 2,9 % de la main-d’œuvre. Face à ce constat presque alarmant, elle concluait que « les coûts liés aux accidents et aux maladies d’origine professionnelle peuvent être importants ». Autrement dit, une bonne SST serait bénéfique aussi bien pour l’entreprise que pour les salariés eux-mêmes. Mais quels seraient ces avantages ? En quoi la prévention des risques professionnels peut-elle être avantageuse ?

La SST, un élément important d’une meilleure gestion commerciale

Les coûts de prévention SST constituent pour une organisation un pari sur l’avenir et aussi le moyen d’éviter les coûts a posteriori, selon aviseconseil. La mise application du document unique d’évaluation de risques contribue à façonner la responsabilité sociale de l’entreprise, ce qui évidemment ne manque pas d’avoir un impact positif sur son image de marque et sa valeur. Investir en amont sur la sécurité et la santé des salariés, c’est pour une entreprise, le moyen de booster sa productivité. Les salariés en bonne santé, ce sont des employés disposés à travailler, donc à faire accroître le chiffre d’affaires. Leur engagement et motivation s’en trouvent renforcés. Les employés en bonne santé, c’est aussi un personnel un peu plus compétent chaque jour. Une bonne SST motive aussi le personnel à s’engager plus longtemps avec l’entreprise ou dans la vie professionnelle. De même, les risques psychosociaux sont évités. Elle permet aussi de satisfaire les attentes des clients. Enfin, en améliorant les conditions de santé et de sécurité des employés, une entreprise gagne sur les dépenses associées en cas de survenue d’accident ou de maladie. Tout compte fait, une bonne gestion commerciale est avant tout liée à une bonne SST. Cependant, les avantages économiques ne sont pas les mêmes pour toutes les entreprises.

Avantages pour une grande entreprise

Toute entreprise soucieuse de sa performance, de son résultat et de son bilan est toujours cotée sur le marché boursier, car le modèle de gestion d’une grande entreprise est en partie lié à ses performances SST. Autrement dit, ladite entreprise procède à une évaluation des risques professionnels pour son image, ce qui lui permet d’en tirer profit économiquement par une application SST rigoureuse. Sachant que les risques psychosociaux au travail ou autres accidents du travail entachent leurs images de marque, les grandes entreprises doivent faire de la prévention SST un enjeu majeur. La réputation et la valeur de marque de l’entreprise en dépendent. C’est aussi un gage de l’engagement RSE de l’entreprise, un moyen de préserver ou gagner la confiance des financeurs ou d’avoir un engagement positif des partenaires. Tout ceci contribue à la santé financière d’une entreprise et à sa prospérité.

Avantage pour une petite entreprise

Pour les petites entreprises, une bonne politique SST permet non seulement de satisfaire les exigences des clients en ce qui concerne la sécurité et la santé des employés, mais c’est aussi ce qui leur permet d’avoir de nouveaux marchés ou de conserver ceux dont ils disposent. En l’absence d’un document unique, un incident grave tel qu’un décès ou un incendie peut entraîner des perturbations voire la fermeture d’une petite entreprise, ce qu’une politique SST performante permettrait de l’éviter.

En tout cas, une petite entreprise qui entend s’assurer une croissance durable et stabiliser son activité doit prendre en compte le bénéfice qu’elle peut tirer de l’application du document unique de sécurité. Une gestion SST efficace est non seulement une source de motivation pour le personnel, mais aussi une solution à la réduction des coûts liés à la maladie. Elle est davantage un moyen de fidéliser les clients. Le gain en termes de productivité est énorme. Une bonne politique de sécurité permet à l’entreprise de travailler avec moins de main d’œuvre, aux salariés de travailler plus vite, d’optimiser un recrutement de qualité et de conserver un personnel qualifié. Ceci passe aussi par l’instauration d’un compte pénibilité, pour assurer une bonne retraite à ses employés.

Pour finir, une action SST a posteriori est financièrement dommageable pour l’entreprise, surtout en l’absence d’une médiation entreprise. Par contre, une bonne SST présente de nombreux avantages. Une gestion SST efficace passe par l’instauration et le respect d’un document unique d’évaluation de risques, mais aussi par l’instauration d’un compte pénibilité. 

L’internet et les réseaux sociaux parlent souvent d’une drogue atypique qui est basée sur la relation entre les ondes cérébrales et les battements binauraux. Ceci porte le nom de la drogue auditive. Les personnes qui s’exposent à ces ondes ressentent une sensation de bien-être, cela veut dire que la drogue auditive a son revers sur la santé comme toutes les autres drogues.

Qu’est-ce que la drogue auditive ?

Selon drogues-dependances.fr/, la drogue auditive aussi appelée drogue acoustique est la nouvelle coqueluche des jeunes adultes et les adolescents. La drogue auditive est un fichier musical qui a le principe qui se repose sur l’envoi des sons similaires dotés d’une fréquence légère qui se décale d’une oreille à l’autre et qui est combinée par le cerveau après une analyse. C’est une drogue virtuelle qui est un son binaural à basse fréquence qui n’est pas perçu par le consommateur lorsqu’il est éveillé. Il peut les percevoir dans le cas où il serait totalement réceptif, c’est-à-dire quand il est parfaitement détendu et allongé.

Les divergences de fréquences ne doivent pas être plus de 1500 Hz, cela pour que le particulier puisse bien percevoir le battement binaural. Les dissemblances perçues par le cerveau peuvent engendrer un effet stimulant à la personne concernée et lui font plonger dans un état second. Ceci est dans le cas où le particulier possèderait de l’expérience d’écoute des fichiers sonores. Les battements binauraux sont évalués comme des doses, cela parce que ces effets se ressemblent à ceux qui sont prodigués par une drogue.

Le type de drogue auditive

L’application et le logiciel de la drogue auditive le plus courant qui vous permet de vous droguer auditivement sont l’i-doser. Ceci est un dispositif qui peut stimuler votre cerveau par des ondes et des fréquences binaurales. Le logiciel ou l’application fait en sorte de créer un son qui n’est pas toujours agréable dans l’écoute, mais fait stimuler d’une façon différente le cerveau de la personne qui l’écoute. L’i-doser est un procédé qui a été découvert par Heinrich Wilhelm Dove en 1839. Elle peut fonctionner sur toutes les personnes qui veulent le tester. Le logiciel i-doser fait Office d’un lecteur audio pour un format dont il est le seul qui peut le lire.

Les matériels requis pour ceci sont un ordinateur doté du logiciel i-doser, un casque de bonne qualité et des doses. Quand vous avez à votre disposition des sons (doses), vous pouvez les écouter par le lecteur audio spécial pour ces sons. Le logiciel va transmettre à votre casque des ondes qui peuvent provoquer chez vous des hallucinations. Les sens touchés par les doses sont le toucher, l’ouïe et la vue. Les sensations que vous allez ressentir vont être différentes selon le nom de la dose que vous choisissiez, par exemple : la dose qui se nomme Alcohol donne une sensation d’être saoul, etc.

Les effets de la drogue auditive

La drogue auditive présente plusieurs effets sur l’individu. Ceci peut réduire l’anxiété et booste les performances et augmente la créativité. Elle peut faire plonger un individu dans un état de rêve et un état d’éveil ainsi que se limiter les doses d’anesthésiants. Ceci est une drogue légale qui peut être dangereuse lorsqu’elle est utilisée en dehors du domaine médical. Les médecins l’utilisent dans un milieu médical, cela lors d’une intervention chirurgicale, autrement dit lors d’une opération dentaire.

Pour produire les effets désirés, le consommateur doit posséder de l’expérience d’écoute. Pour privilégier d’avantages de ces effets, il est nécessaire de savoir coordonner les deux moitiés du cerveau qui fonctionnent habituellement sur 2 rythmes différents. Le meilleur moyen de parvenir à la manipulation des zones cérébrales c’est de s’assurer que les sons produits sur les fréquences très précises sont définitivement artificiels et que le sujet dispose d’une bonne connaissance des drogues auditives.

Les risques de la drogue auditive

La drogue auditive présente aussi des risques négatifs sur la personne qui l’utilise. Les effets secondaires peuvent être les mauvaises perceptions des rêves et les sensations hallucinogènes. Ceci peut être aussi l’origine d’un malaise vagal qui est dû à une hyperventilation ou l’origine d’une psychose. Le phénomène d’i-doser peut aussi être l’origine de l’insomnie et les problèmes cardiaques comme l’accident cardiaque ou la tachycardie, cela lorsque l’individu a déjà des antécédents. Le sujet peut dépendre de la drogue auditive à moyen terme.

Sachez que cet élément est néfaste pour le cerveau, car ses effets peuvent assouplir le consommateur pendant un moment à long terme. Elle présente aussi des dangers néfastes pour les sens, car les battements binauraux à basse fréquence provoquent la perte de l’ouïe et la présence des fréquences élevée provoque des troubles d’audition. Ceci s’avère être très dangereux pour les jeunes. Pour le cerveau, les sensations provoquées par la drogue auditive peuvent entraîner des évanouissements, ceci peut perturber le cycle de fonctionnement du cerveau. Elle peut être fatale pour les personnes à risque d’épilepsie.

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