Le burnout est une maladie souvent négligée par la communauté. Or, ses conséquences sont néfastes que ce soit sur le plan physique, émotionnel ou mental. De la sorte, il faudrait à tout prix y remédier. Mais comment ? Quels sont les symptômes de cette maladie qui peut causer une invalidité pendant des mois ?
Suite à un effort physique répété au travail, au stress continuel, à l’insomnie, etc., cela aura des impacts négatifs sur l’individu : irritabilité, dépréciation, dépression, etc., et cela entrainera forcément un épuisement émotionnel. En effet, le burnout évolue petit à petit à l’intérieur de l’Homme (de quelques mois à quelques années), et certains ne se doutent guère qu’ils sont sur le point de craquer. Lorsque la situation s’aggrave, ils n’arrivent plus à contrôler quoi que ce soit. Le mot le plus courant que l’on entend est « je craque » ou « je n’en peux plus ».
En outre, l’entourage de la personne ne se rend même pas compte de ce qu’il traverse. En tout cas, il va essayer de dépasser ses limites pour réaliser au mieux son travail et atteindre des objectifs surréalistes. Or, il n’arrivera pas à tout accomplir, ce qui le rendra encore sur les nerfs.
Dans la plupart du temps, les signes avant-coureurs les plus fréquents sont :
Mais au niveau psychologique, les symptômes peuvent être plus graves comme la perte de confiance en soi, la perte de la joie de vivre, le découragement, l’angoisse, les crises de nerfs, etc. Et si son cas s’aggrave, il risque de ne pas pouvoir travailler pendant un long moment.
Pour tout individu à risque, la meilleure solution étant de prendre un repos physique et mental pendant des semaines, en plus des médicaments et des vitamines afin qu’il puisse booster son énergie. Cela peut se présenter par une diminution de ses horaires de travail ou même un arrêt de travail en cas de besoin, selon la gravité de sa situation. Par ailleurs, un changement de comportement est également indispensable.
Quant à l’organisation, il faudrait adapter le travail à chaque personnel. La pression et la surcharge de travail risquent d’entrainer rapidement une démotivation totale. La prévention peut se baser sur :
En bref, l’organisation tient un grand rôle pour réduire le risque d’épuisement professionnel ! Dans ce cas, cette dernière peut créer un service de santé apte à définir l’état de ses patients. Une formation des gestionnaires et des dirigeants est aussi conseillé pour les apprendre à réaliser un dépistage.